ANCM 1923-2023: de la Corderie au Faron, une association centenaire toujours en forme

 L’ANCM a cent ans en 2023, ses statuts ayant été déposés le 12 décembre 1923, parus au JO du 14 décembre 1923. Son siège était à l’époque au 2 rue Royale. Belle adresse ! L’Assemblée Générale de l’ANCM 2023 s’est tenue à Toulon, les 8 et 9 juin 2023, avec un sympathique programme : visite et cocktail dinatoire au Conservatoire des Uniformes de la Marine, initié par le CRG Moreau il y a 25 ans, montée au Faron en téléférique et déjeuner animé sur le quai, au Café de la Rade porche de l’Amiral de Cuverville. La région toulonnaise est chère au cœur de nombreux commissaires et nous a accueillis sous le soleil.

A 16 heures, le jeudi 8, nous avons été conviés dans l’Arsenal, au Conservatoire des Uniformes de la Marine, situé vers l’extrémité de la Corderie. (voir l’article paru dans le n° 355 de la Baille, page 58, par le CRC1 Yannick  Barrey ). Étrange circuit face à des mannequins camouflés sous des combinaisons étanches et colorées en jaune, noir, rouge, etc, portant treillis, ou portant des uniformes anciens, avec casque coloniaux, des matelots en tenue de travail en lin bleu ou en grand blanc avec hallebarde. La recherche actuelle, outre la conservation matérielle des équipements, porte aussi sur la personnalité de ceux qui les ont portés lorsque c’est possible (donations familiales) . Les mannequins, aux visages sympathiques, étant de taille normale, on voit d’étranges groupes formés entre les visiteurs et les marins figés, mais semblant participer eux aussi aux conversations. On y trouve des vitrines avec des épées scintillantes, des bérets, des boutons dorés, des casquettes, des uniformes d’officiers, des bicornes, une corne de brume à soufflet, un bureau avec des journaux de la guerre de 40, des fanaux, pavillons, une chaloupe, et même l’argenterie brillante d’une salle à manger d’amiral… Prévert aurait aimé cet inventaire ! L’ensemble est d’une remarquable qualité.

Vers 17h30, notre Assemblée Générale s’est tenue dans une belle salle de réunion que le SLM avait aimablement mis à notre disposition, la salle Ferrier (ancien Directeur Central du Commissariat de la Marine) avec rideaux rouges, voutes blanches, tapisserie et collection complète reliée des annales de la marine depuis 1817.

En prélude à l’AG, nous avons rapidement présenté l’histoire du centenaire de l’association. La période des années 20 vit la reconstruction de la Marine après la fin de la guerre, où le premier de nos présidents (de 1923 à 1926), le Commissaire Général Jean-Baptiste Rouchon-Mazérat (1852-1926, promotion 1873) y joua un rôle difficile et efficace pour la refondation de la Marine. Pendant la guerre, auprès du ministre de la Marine, Georges Leygues, il fut Secrétaire général de la Marine en 1918, puis entra au Conseil d’Etat. Il présida la Commission centrale des marchés. Il fut l’un des commissaires Grand-Croix de la Légion d’Honneur. Il fut suivi du CRG Eugène Gigout (1861-1939- promo 1878), puis après la 2eme guerre mondiale, le CRG Victor Millet (X -promo 1908) fut président de 1947 à 1950. Lui succédèrent le CRG Henri Borius ( promo 1911) de 1951 à 1953 et le CRG Emile Cagin (promo 1911) de 1954 à 1958. Nous arrivons alors aux temps « modernes » : Après ces cinq présidents, onze présidents se succédèrent alors jusqu’à maintenant.

L’Association s’appela d’abord « l’Association Amicale des officiers et anciens officiers du Commissariat de la Marine et des anciens élèves du Commissariat de la Marine », puis « Association Amicale du Commissariat de la Marine » en 1956 (AACM), « Association Nationale des Commissaires de la Marine » (ANCM) en 2007, puis lors de la fusion des trois corps de Commissaires dans le Commissariat des Armées, est devenue en 2013 « Association Nationale des Commissaires de la Marine et des Commissaires des armées-marine », avec le même logo ANCM.

L’association réalisa un annuaire (le premier en 1925) et une revue, qui évolua avec les années. Elle diffusa un fac-similé de l’édition de 1689 de « l’Ordonnance de Louis XIV pour les armées navales », (408 pages), œuvre du grand Colbert, des objets tels que des jumelles (pour les majors de promotion), pin’s, cravates, etc.

Les assemblées se déroulèrent dans le grand salon des Invalides, au musée de la Marine sous les dorures de la galère « la Réale », à l’Unesco, à l’École Militaire, à Brest, à Toulon, au Cercle de la mer, etc…

l'ANCM organisa des conférences (par exemple sur le procès de l’Amoco Cadiz ou sur Montego Bay). Ces assemblées et conférences étaient à leur époque des évènements courus, ou la Marine Nationale était très présente : les cocktails marine sont des lieux de diplomatie et de négociations entre deux petit-fours. Il y eut aussi les voyages de l’Association, menés par le CRG Renvoisé, et des actions locales, notamment en zone Méditerranée, animées par les CRG Fillon et Verdeaux. (ah, les cargolades et platanades…) et à Brest.

Les visites d’institutions, ambassades, lieux de pouvoir nous ont vus à l’Elysée, à Matignon, au Sénat, à l’Assemblée, à la Cour de Justice Européenne,… Elles se sont faites, pour la plupart, dans des lieux ou des commissaires étaient en poste. Enfin des commissaires, d’active ou réserve, ont eu la plume littéraire comme Nicolas Baverez, Alain Minc, Marc Bayle, et autres ou ont publié de nombreux articles, par exemple pour l’Académie de Marine, refondée en 1923 également.

Dans le cadre du SCA, depuis 2013, les commissaires d’ancrage marine (cet ancrage a été discuté et fermement défendu grâce à l’association) ont apprécié l’ouverture sur la Marine que nous leur apportions, un peu de sel marin dans leur activité. La Baille, éditée par l’AEN les met davantage en contact chaque trimestre avec les activités de la Marine, et apporte aux commissaires une large diffusion de leurs activités, mais aussi de leurs articles sur des sujets comme l’AEM, la géopolitique, l’histoire, l’actualité. L’ANCM envisage d’ailleurs de publier en 2024 un recueil des articles écrit par des commissaires et publiés dans la Baille entre 2016 et 2023.

Par ailleurs, un groupe de travail prépare l’histoire du Commissariat de la Marine sur la période 1953-2013, pour faire suite à l’Histoire du Commissariat rédigée par le CRG Lucien Page en 1957, primée par l’Académie de Marine, éditée en 1965 et 1979.En 2023, l’annuaire AEN – ANCM vient de paraitre, renforçant encore notre lien avec la Marine. Un siècle est finalement vite passé, et la Marine a changé de visage. Les Commissaires des Armées, d’ancrage marine, remplacent peu à peu les Commissaires de la Marine, les commissaires de réserve sont plutôt…en réserve, bien que dispersés dans des hauts postes administratifs ou privés ; mais les portes des coursives s’ouvrent toujours sur les vagues et les embruns….

Après la rue Royale, l’association, fut hébergée rue Octave Gréard, dans les locaux majestueux de l’Inspection. Nous y eûmes même un moment le siège dans un grand placard, signalé par une plaque  et qui, porte ouverte, contenait un petit bureau, une chaise et un téléphone. Pas très commode…Ensuite à la Pépinière, nous fûmes au large avec trois bureaux et de grandes armoires. Une fois la Pépinière vendue (hélas) la Marine nous abandonna. Elle n’eut plus de locaux gratuits pour l’association, plus de personnel à prêter, de service courrier pour envoyer courriers, annuaires, revues, ni de cars marine pour les visites, etc. Mais nos amis de l’AEN nous offrirent un refuge, et nous emménageâmes dans leurs bureaux de la rue d’Amsterdam, avec d’autres associations marines, dans le cadre de l’Alliance Navale. Entre marins, les relations furent sympathiques et enrichissantes. Mais si les locaux diminuaient en surface, nos dépenses augmentaient, en personnel et frais partagés. Rue d’Amsterdam, nous avions un bureau partagé, une armoire, une cave, un autre bureau ou plutôt un réduit avec fenêtre en vitrail pour notre aimable secrétaire. L’AEN ayant transféré, en 2021, ses bureaux rue Saint-Dominique, belle adresse sur le chemin de Balard, nous n’y avons plus qu’une domiciliation. Mais nous avons le plaisir de rester avec l’AEN et l’Alliance Navale, pour renforcer notre lien « marine » au bénéfice de nos adhérents.

le déroulement de ce débarquement, qui, prévu simultanément à celui du 6 juin en Normandie, se trouva décalé en Aout 44 pour des raisons logistiques. Un excellent film panoramique explique les phases de cette action moins connue de façon très compréhensible. Le musée présente aussi les contraintes de la vie courante à la fin de la guerre (le système D  risque de revenir...). Notre jeune guide, passionnée, nous expliqua clairement la visite, que nous dûmes écourter pour redescendre avant 13h, car le téléphérique ferme entre 13 et 14 h…!

Notre assemblée fut suivie des interventions du Commissaire Général Coussin et du Commissaire en chef Barrey, qui nous présentèrent avec brio l’évolution actuelle du SCA et du SGBD de Toulon, les nouveaux organigrammes plutôt complexes, et leur volonté de s’orienter davantage sur la relation avec les personnels.

Le Conservatoire des Uniformes nous reçut à nouveau le soir, mais avec un excellent cocktail dinatoire préparé et magnifiquement présenté par l’Igesa, en présence des conjoints. Le Préfet maritime, le VAE Boidevezy nous fit l’honneur de sa présence. Le conservatoire est un très beau lieu de réception, avec ses voûtes fraiches et ses colonnes de pierre, et l’environnement des objets et costumes de la Marine. Mais il est dans l’Arsenal, il faut donc pouvoir y accéder. Nous longeons la Corderie pour y parvenir. Nous passons donc devant les anciens locaux de l’EOCM et du GECM. Nostalgie et bons souvenirs. Mais le bougainvillée des années 60 a grandi, beaucoup grandi, il n’a pas été récemment taillé, il cache l’escalier et la façade, monte très haut et fait un magnifique bouquet rose vif. Certains disent qu’il descend d’un rejet d’un bougainvillée ramené par Bougainville….

Le vendredi 9, par le bus 40, nous accédons à 10h au départ du téléphérique du Faron. Une partie du groupe arrive et juste avant nous, un homme semble négocier à la caisse. Mystère, vite résolu : c’étaient les billets pour 3 classes de jeunes écolières qui allaient passer avant nous… Nous arrivons en retard au mont Faron. Le groupe se retrouve sur la terrasse du fort, devenu Musée du débarquement de Provence, en aout 1944. Quelle vue extraordinaire sur le baie de Toulon, la ville, les collines, la côte, de Sanary à Giens… Le musée est réduit, rénové en 2017, mais parfaitement inséré dans la structure du fort, et fait comprendre facilement les enjeux et

Nous arrivons donc à temps sur le port, pour un déjeuner au Café de la Rade, sur le quai Cronstadt. Répartis entre trois tables, il fut animé et sympathique. Une occasion agréable de se retrouver à Toulon ! Merci encore aux CRG Fillon et Verdeaux pour leur accueil et organisation. Il se pourrait que dans deux ans, la prochaine Assemblée se fasse encore en bord de Méditerranée, mais plus à l’est…

 Le Conservatoire des Uniformes de la Marine (CUM), dans les bâtiments de la Corderie :

    

 

L'AGO s'est tenue dans l'amphi Ferrier au 1er étage du SLM :

Le cocktail sous les voutes du Conservatoire des Uniformes de la Marine :

la visite du fort du Faron :

     

 

Le déjeuner au Café de la Rade:

 

Anciennes publications : 

Dans le cadre du centenaire de la grande guerre, cette exposition explique La recomposition de l'Europe après la première guerre mondiale.

Le clairon qui sonna l’armistice en  novembre 1918 n’a pas sonné la fin des guerres en Europe centrale,  à l’Est et au Proche Orient. Le monde d’avant n’est plus, les empires sont tombés, les pays sont modifiés, les frontières déplacées, les nations meurtries. Déjà, en 1917, le Tsar avait été remplacé par Lénine et les soviets. Les empires allemands, austro-hongrois, russes, ottoman, disparaissent au profit des nations qui les constituaient.  Une succession de traits sur les cartes  découpe l’Europe, le Levant, déplace les peuples. Du traité de Versailles en 1919 à celui de Lausanne en 1923, une nouvelle Europe renait dans les tourments et la douleur. Les armées françaises apportent aide et logistique (uniformes, casques, généraux, etc) aux armées disparates des nouvelles nations. Notre marine transportera ceux que la poussée de l’armée Rouge obligea d’évacuer le sud de la Russie, et les accueillera  à Constantinople dans des camps jusqu’en 1922.La Pologne retrouve son indépendance : Foch a reçu son bâton de maréchal polonais. La république de Weimar a remplacé le Reich impérial. Malgré les 14 propositions  du président Wilson, la création de la SDN, les américains ne ratifient pas le traité de Versailles. Le droit international s’impose cependant aux nouveaux états-nations. Mais il n’y a pas eu de véritable plan de paix : celle-ci ne dura que peu d’années ensuite…

Cette exposition didactique du Musée de l’Armée présente près de 300 objets, affiches aux superbes graphismes, uniformes, drapeaux, traités originaux, armes, documents, et surtout cartes (dont la carte de l’accord secret Sykes-Picot qui répartit dès 1916 les territoires du Levant entre la France et l’Angleterre). Un historien disert accompagna notre groupe pour cette visite organisée pour l’ANCM par le CRC1(h) Jacques d’Arjuzon,  le samedi 1er décembre  2018. Une redécouverte passionnante de cette période chaotique et méconnue, dont les conséquences sont toujours présentes dans l’actualité.

Expo du 5 octobre 2018 au 20 janvier 2019 Entrée Musée de l'Armée.

 

  

  

  

 

 

 

 

 Au chevet de cette Ecole, nous trouvons le Maréchal de Saxe, un riche contrôleur général des guerres, Paris-Duverney, ami de la Pompadour, laquelle  appuie le projet auprès  du Roi  Louis XV, puis  un grand architecte, Gabriel…et un italien intriguant. De cette association improbable naît en 1751 une école militaire pour les cadets de la petite noblesse provinciale, financée par une Loterie lancée par Casanova qui gère les commissions sur la vente des billets...

Ainsi s’élève dans la plaine maraîchère de Grenelle cette merveille architecturale sobre, où les nombreuses colonnades plaisent aux jeunes cadets. L’un d’eux, entré à 15 ans en 1785 y reçoit, dans la chapelle, la Confirmation par Mgr de Beaumont, archevêque de Paris, qui s’étonne : Napo …Napoleone ? D’où vient-il ? Ce n’est pas le prénom d’un saint. Avec un fort accent, la réponse fuse : » il y a plus de saints que de jours dans le calendrier ». Ce Napoleone fort en maths voulait choisir…la marine. Il n’y avait plus de place, ce fut l’artillerie. Nous aurions pu avoir l’Amiral de Buonaparte…l’Histoire eut été autre…

L’Ecole connut de nombreuses vicissitudes depuis  la Révolution. La Chapelle coupée par un plancher au 1er étage fut une belle salle de bal sous l’Empire, au-dessus d’un dépôt de literie…En 1870, une balle troua la glace du grand salon des maréchaux, que nous visitâmes exceptionnellement. Dans la bibliothèque aux boiseries grises, une autre balle troua en 1944 un livre allemand et la glace au-dessus : livre et trous sont toujours là. Grand manège, superbes écuries (90 chevaux), carrière, sellerie, la cavalerie reste présente.

Le pavillon Gabriel fut la chapelle de l’infirmerie, les malades pouvant y suivre la messe par les ouvertures sous la coupole. Un conférencier érudit, aimable et disert, M Henri Vivier, nous révéla  cette histoire que parfois nous ignorons quand nous courons aux conférences. Merci  au CRC2 Noëlle Auphan pour avoir organisé cette redécouverte.

   

   

   

   

   

   

   

 

 

 

 

 

 

La recherche d’un canal dans cette zone remonte à près de 4000 ans : « La pensée de Sésostris vient d'être reprise par Ferdinand de Lesseps » dira Théophile Gauthier en 1867. Egypte et France, de Lesseps et Said, puis Ismail Pacha, Impératrice et souverains, chantier géant et fêtes internationales, l’inauguration de 1869 par l’Impératrice Eugénie marque une ère nouvelle dans la navigation mondiale.

La remarquable exposition de l’Institut du Monde Arabe, commentée par une guide érudite, nous a permis de mieux comprendre les enjeux stratégiques de ce canal au cours de l’histoire récente. Maquettes  géantes rarement vues, photos et vidéos participent à cette visite immersive et vivante. Une ville nouvelle fut implantée ; Bartholdi proposa un projet de statue géante portant un flambeau, abandonné à Suez mais repris à New York pour symboliser la Liberté…Les dragues et matériels utilisés pour creuser l'isthme contribuèrent à la technologie des grands travaux.

Beaucoup d’entre nous sont passés par le canal de Suez…sans avoir le temps peut-être de mieux connaitre sa fabuleuse épopée !

   

  

  

 

 

Grace au CRG2(2s) Jean-François Ermeneux,  économe du Diocèse aux Armées, un groupe de commissaires et d’Intra-marine a pu être reçu le samedi 20 janvier 2018 au 20bis rue Notre Dame des Champs, où le Diocèse est installé dans des bâtiments appartenant à la Congrégation des Sœurs du Bon Secours, fondée en 1824,dont les sœurs sont présentes dans le monde entier, avec  64 congrégations. La chapelle, privée, est la première église néo-gothique de Paris, inspirée de l’architecture anglaise, construite vers 1830, remarquablement conservée et entretenue : décor coloré du chœur, vitraux, boiseries, extraordinaire escalier de pierre sous le buffet d’orgues Cavaillé-Coll, sol en marbres colorés. Monseigneur Robert Poinard, vicaire général émérite et chancelier du diocèse aux Armées nous la présenta avec une sympathique érudition.

Dans une salle de réunion, le Père Pierre Fresson, aumônier en chef de la Marine et vicaire général du Diocèse aux Armées nous parla de la pratique du culte dans les Armées, bel exemple de cohabitation de religions et de laïcité réussie. Laïcité ne signifie par séparation, mais distinction et relations. Ce modus vivendi au quotidien, issu d’une longue histoire, s’est progressivement organisé. Ordinariat militaire indépendant des évêques sous Jean Paul II en 1986, puis, en 2012, diocèse, dont l’évêque actuel, Monseigneur de Romanet, siège en sa cathédrale aux Invalides. Cette structure est adaptée aux déplacements territoriaux des personnels militaires.

La charte des cultes de 2008, complétée en 2012, reconnait les 4 cultes catholique, protestant, juif et musulman, avec des aumôniers hors grades pour chaque religion, qui coordonnent leurs missions, sans prosélytisme. Écoute, parole, sens de la vie, gestion du stress, cultes, sont indispensables aux militaires, et à leurs familles. Tous les militaires en activité, et leurs familles, dépendent des aumôniers des Armées. Même les réservistes, mais seulement pendant leurs périodes en activité.

   

  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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